dans ma cuisine, dans ma maison faitmain faitmaison

- des recettes;
- mais aussi comment je potage sur le balcon et dans la maison;
- comment j'organise ma cuisine de façon à moins dépenser et à cuisiner le plus healthy possible c'est-à dire avec le moins d'additifs possibles, le plus bio possible et en suivant au plus près un équilibre alimentaire;
- tant que j'y suis dans l'organisation, je raconterais aussi comment je m'organise pour tout et comment j'évolue vers la simplification mais comme l'entendent Valérie et Michael.

Tuesday, March 23, 2010

Semis

Bonjour,

J'ai mis en scottex la semaine dernière les poivrons et dimanche, ils étaient plus avancés que ce à quoi je m'attendais alors hop, comme dirait petite soeur enfin : j'ai attaqué le "jardinage" et mis en pots ces bébés.




J'ai en plus semé directement sur le balcon des petits pois (si je n'avais pas lu le post de petite soeur, j'aurais oublié! merci m'dam) et mis en scottex ma micro collection de tomates : 5 graines de chacune des tomates suivantes : stupice (précoce), green zebra, rose de Berne, noire de crimée, andine, white wonder et comme tomates cerises 3 graines de chacune des black cherry, des prunes noire et des miels du Mexique.  
Non tout n'est pas prévu pour mon balcon!! Je pense garder un pied de chaque cerise et au moins un pied de chacune des autres au minimum. En fait pour ces dernières, ce sera en fonction de ce qui germera et de la place sur le balcon. J'ai semé tout le reste pour maman : les pieds voyageront en voiture pour l'Aveyron, le premier week end de mai.
Je ne connais aucune des tomates cerises niles stupice (qui vient des balkans et qui serait une des meilleures précoces) ni les white wonder (blanche comme son nom l'indique).
L'an passé, nous avons testé avec maman les green zebra (étonnante en sauce) les noires de crimée (bien foncée ) et les avons bien aimées. Quand aux Rose de Berne et aux andines, ce sont des classiques que nous faisons chaque année. Et vu le nombre de pieds, je laissé tombé les Saint-Pierre, Marmande et Cornue des Andes.
Quand aux poivrons, les 12 graines semées ont germé, j'en garderait trois pieds pour le balcon, le reste partira aussi pour l'Aveyron.
Matthew sera préposé à l'arrosage chez mes parents tout l'été, et je ferais les conserves (sauces, jus, pâtes, bolognese).

Marie-Odile

Friday, March 19, 2010

Gateau au chocolat et aux épices

Bonjour,
Un gâteau alliant plaisir et bonne conscience puisque contenant au moins trois produits à activité anticancer.
Comme mesure, je me sers de verre à moutarde décoré d’Amora pour la bonne raison qu’ils sont récupérables ainsi que leur couvercle en plastique rouge avec lesquels je fais mes yaourts !
Ingrédients :
-  Farine (le plus complète possible): 3 verres
- Sucre le moins raffiné possible : 2 (peut être diminué)

- 3 œufs entiers (4 si ce sont des petits)
- 1 yaourt 1 sachet de levure
- 1/2 verre d’huile (olive pour moi)
- ½ verre de cacao en poudre
- 1 càs de curcuma
- ½ càthé de poivre du moulin
 Mélanger les ingrédients secs, faire un puit, mettre les éléments liquides dans le puit, mélanger. Beurrer un moule à manqué, mettre la pâte dans le moule et au four préchauffé à 180°C. Tester la cuisson avec une aiguille à tricoter (pourquoi croyez vous que j’ai toujours une chaussette en cours dans la cuisine !), elle doit ressortir sèche. Compter environ 45 minutes.
Remarque : la cannelle contient également des principes actifs anti-cancer, mais je ne voulais pas trop forcer les goûts, mais on peut en ajouter une càc sans problème
On pourrait dire que la recette contient du lait à travers le yaourt, mais l'effet "délétère" du lait sur l'absorption des flavanols1,2,3,4 du chocolat est trop sujet à contreverses pour en tenir compte en permanence, on peut se permettre un écart!
 
Marie-Odile
 
1 - Serafini M et al. Plasma antioxidants from chocolate. Nature 2003, 424, 1013
2 - Schroeter H et al. Nutrition : Milk and absorption of dietary flavanols. Nature 2003, 426, 787-788
3- SerafiniMullen W et al. Milk decreases urinary excretion but not plasma pharmacokinetics of cocoa flavan-3-ol metabolites in humans. Am J Clin Nutr. 2009, 89(6) : 1784-91
4 - Urpi-Sarda M et al. Effect of milk on the urinary excretion of Microbial Phenolic Acids after cocoa powder consumption in humans. J Agric Food Chem. 2010 Mar11[Epub ahead of print]

Friday, March 12, 2010

critères d'organisation de la cuisine. 1 b addenda.

Bonjour,
Dans la première partie de la présentation des critères d'organisation de la cuisine (une cuisine saine), nous avons vu les principes de limitation des excès et ceux de compensation des déficits.
Quand on regarde la "liste" des produits alimentaires dits anticancer de Belliveau, on se dit que cela va être difficile et surtout monotone!
Dès qu'on fait un peu de bibliographie (sur les sites médicaux et scientifiques comme celui de US national library of medecine, National Institute of Health), on réalise qu'en fait un peu tous les fruits et légumes ont un rôle bénéfique sur la santé* et surtout qu'il y a des interactions entre les différentes substances actives des légumes entre elles ainsi qu'avec la biologie  cellulaire. On est donc beaucoup plus enclin à se dire banco jouons le jeu d'une alimentation riche et variée en fruits et légumes. D'autant qu'on peut également jouer avec les boissons, épices, herbes.

*Ainsi par exemple la famille des flavonoïdes est représentée dans tous les fruits, légumes, céréales voire boisson. Donnons quelques exemples pour les 4 principaux groupes :
- les flavones regroupent la quercitine (très présente dans l'oignon, le brocoli, la pomme) ou l'apigénine (persil, celeri, pissenlit, plantain et romarin)
- les flavonones (citron et agrumes)
- les catéchines (thé vert, vin rouge, chocolat)
- les anthrocyanines (fruits rouges, raisin, vin).

Autres problèmes : la recherche sur le sujet est jeune donc ne couvre pas toute la diversité des molécules qui demandent une étude au cas par cas. De plus, beaucoup de résultats sont issus d'études in vitro, ou de modèles murins, la biodisponibilité de ces molécules est mal connue d'autant que la présence de ces molécules dans l'alimentation est dépendante des modes de conservation et de préparation (par exemple le traitement alcalinisant du cacao lui fait perdre  jusqu'à 60% du total des flavonoïdes 1) ainsi que des modalités de consommation (le lait inhibe par exemple les flavonoides dans le cacao!).

Il est donc intéressant de connaitre l'état de la recherche mais aussi d'avoir un stock d'idées d'utilisation de ses produits. Je me propose de mettre sur le blog, un peu les résultats de mes lectures scientifiques (en mode utile en diététique) ainsi que les recettes permettant d'introduire au quotidien le plus d'ingrédients différents et surtout de façon le plus varié possible.
On commence par le chocolat (sucré et salé, surtout salé)?

Marie-Odile

1 - ANDRES-LACUEVA et al. Flavanol and flavonol contents of cocoa powder products : influence of the manufacturing process. J. Aric. Food Chem., 2008, 56 (9), pp 3111-3117

Monday, February 22, 2010

Sel aux herbes

Bonjour,
Petite sœur m’a demandé ma recette de sel aux herbes. La voilà.
Je suis partie des recettes canadiennes d’herbes salées, plus particulièrement d’une recette de Banlieusardises parce qu’elle se mêle aux herbes des légumes. Comme il s’agissait pour moi de faire un sel « parfumé » plutôt que de conserver des herbes, j’ai modifié les proportions au lieu d’1/4 de tasse de sel par tasse de mélange haché de légumes et d’herbes, je fais 1 : 1. Evidemment, chaque fournée (oui, je sais je ne mets rien dans le four) est différente de la précédente en fonction du marché et/ou du potager.
Aujourd’hui pour deux kilogrammes de gros sel il y avait : deux bouquets de persil entier (tiges comprises), ½ pied de céleri (dont le cœur), 4 gros oignons, 3 cayeux d’ail, 5 grosses carottes, 1 gros navet, six grosses tomates (j’avais mal calculé mon coup et j’arrivais en fin de réserve, j’ai prévu plus large du coup !) et un poireau entier (3 centimètres de diamètre, pas trop gros).
Pour éviter que les fibres ne bourrent mon robot, je prédécoupe en morceaux (mais cette fois-ci, cela n’a pas suffit). Une fois les herbes et légumes mixés, je mélange avec le sel. Cette fois-ci, j’ai pris du gros sel. Du coup, le mélange semble moins homogène.
J’ai obtenu trois gros pots, un petit (pour une copine) et j’ai mélangé (mal, vous voyez la différence sur la photo) avec ce qui me restait dans le pot en cours.
Je me sers de ce sel aux herbes pour la cuisson du riz, des pâtes, les bouillons, les soupes, les viandes en sauce, la cuisson des légumineuses… En gros, je m’en sers comme d’un bouillon cube végétal. On pourrait jouer sur les herbes : mélange de la garrigue (thym, romarin, origan…), spécial asiatique (coriandre fraîche et graines, oignons verts, basilic menthe….), etc.
Maintenant, il me faudrait faire quelques recherches pour savoir ce que deviennent tous les constituants de ces herbes et légumes, une fois saumurés. D'autant qu'avec le temps, le mélange fonce (voir la photo contenant le mélange précédent et le nouveau), donc il doit s'oxyder.
Faites vous une préparation de ce type? Avez-vous une recette de bouillon-cube végétal?
[edition du 23 février] A la demande de petite soeur (cela fait plaisir d'avoir une lectrice intéressée): comme tu peux le voir sur la photo du pot comportant le mélange ancien-nouveau, j'étais en train de finir un pot de la préparation de novembre 2008. C'est une saumure, cela se conserve à température ambiante largement une année (le plus ancien mangé avait 2 ans : un pot donné à mon frère et qu'il n'avait pas utilisé car il veut la liste des ingrédients précis pour cuisiner). Il ne faut pas oublier que l'on doit diminuer notre consommation de sel... donc ne pas exagérer la quantité utilisée
Marie-Odile

Monday, February 15, 2010

Critères d'organisation de la cuisine 2

Bonjour,
Reprenons l'organisation de la cuisine. J'ai commencé par simplifier : limiter les excès induits par le "progrès" de notre civilisation et essayer de combler les "déficits" en découlant. Mais sur le trajet de l'alimentation saine, si on ne se méfie pas, si on fait trop confiance à la rumeur, on tombe dans l'adéquation cuisine saine=cuisine bio=cuisine chère et on stoppe.
Tout d'abord, il est question de retrouver une alimentation plus saine, c'est-à-dire limiter les défauts de l'alimentation actuelle, pas de tomber dans l'othorexie de ne manger que "l'aliment pur". Donc, oui quelquefois on peut manger des aliments non-bio, des aliments industriels, le tout est de rester raisonnable!
Le deuxième challenge est d'avoir une cuisine saine (plus saine) et économique.

II - Une cuisine économique
A - Couper dans les dépenses
a - couper dans l'excédent

Dans la vie actuelle, les dépenses alimentaires constituent le second poste de dépenses après les dépenses de logement. Pour avoir une cuisine économique, il va falloir trancher dans les dépenses alimentaires.
Mais...mais...mais... Que constate-t-on??? (super suspense non?) En passant à une alimentation plus saine, on a déjà fait de grandes coupes dans le budget alimentaire.
Prenons quelques exemples d'achats annuels pour une seule personne :
- en boisson :
1l de jus de fruits (Tropic* aux 12 fruits et multiviamines) : 2.50eurosx52 semaines=130 euros
1l de soda (C*C*) : 1.9x52=98.80 euros
1l d'Ice T* : 1.8x52=93.6 euros
Soit en boissons non alcollisées 322.4 euros par an! Et dépensés en produits inutiles et en excédant dans notre alimentation.
- les goûters enfants : 1 briquette de lait (Candy'u* fraise 2.5 euros le pack de 6) + 2 goûters préemballés (10 Pepit* pocket/semaine 3.35 euros) soit 286 euros par an.
- le plat préparé par jour (avec tous ses additifs, sans toutes les vitamines et autres) en moyenne 3.5 euros soit 910 euros par an.
- le steak sous vide (pavé Char*) 6 jours sur 7 à 2.5 soit 780 euros par an.
On a déjà un total de 1388.4 euros. Si on rajoute une pizza livrée par semaine (20 euros) on est à 2428.4 euros, soit largement plus qu'un smic, pour des produits soit inutiles soit remplaçables à moindre frais (franchement un jus de fruit du commerce, c'est de l'eau, de l'eau et du sucre et encore du sucre, raffiné le sucre).
Et nous ne parlons que d'une seule personne, pas d'une famille.
Voilà pour la première technique pour économiser sur l'argent des courses : couper le superflu.
Nous verrons progressivement toute une liste de techniques d'économie alimentaire Même si cette liste comporte plusieurs éléments bâteaux, c'est bon de les voir noir sur blanc (et de les appliquer!). Cela permet de s'en souvenir plus facilement, d'avoir des lignes directrices, plutôt que de se fier seulement au gros bon sens.
Pour certains item, je renverrais à d'autres blogs (comme celui de Charlotte) qui ont décrit, expliqué, appliqué certaines techniques.
Marie-Odile

Monday, February 08, 2010

poule au pot et déclinaison

Bonjour,
dimanche poule au pot. La recette, non, non c'est celle de petite soeur , d'accord j'ai remplacé la courgette par le blanc d'un gros poireau et les haricots par des navets.Ce qui est intéressant c'est tout ce qu'il y a autour.
Oui parce qu'avec une recette de poule au pot, on peut faire plusieurs repas. Tout d'abord quand on est trois, une poule au pot fait deux repas. Mais également 4 pots stérilisés de bouillon de boeuf et une flammiche (avec des photos minables à la base : prendre des photos le soir à la lumière électrique, hahem, et quand en plus on tremblotte, comme pour la flammiche).
Les quatre pots de bouillon, c'est facile à comprendre, il suffit d'avoir la main un poil lourde sur l'eau.... Un pot a déjà servi pour préparer les tortelloni de ce soir (oui précuits dimanche soir, pour n'avoir qu'à réchauffer ce soir) avec un pot de tomates maison et une càs de curcuma.
Un pot servira également mercredi pour une ribollita (avec une photo de la précédente) : un pot de tiges de brocolis coupés en dés et stérilisés, un pot de navets coupés en dés et stérilisés, un pot de tomates pelées en dés (oui, bon approximativement) et stérilisés, un oignon haché, 2 gousses d'ail hachés, 1 càs de pâte de tomates maison et 1 càs de haricots rouges, de haricots blancs, de borlotti de lentilles blondes et de lentilles corail. On mets les haricots à cuire en premier avec les légumes crus, puis les lentilles, puis les légumes cuits.

La flammiche a été faite avec le vert du poireau émincé et fondu, puis mélangé avec ma base à quiche (une brique de crème, un paquet de rapé, trois oeufs) et déposé sur une pâte (en l'occurence pâte feuilletée achetée lors d'une offre et congelée).
Les tiges de brocolis proviennent d'une offre, 4 têtes qui ont fait deux plats de brocoli (un sauté à l'ail et aux anchois, un gratiné avec comme panure de la levure de bière maltée) et 3 pots de tiges stérilisées. En général, l'hiver les tiges stérilisées servent dans les soupes et l'été dans des quiches.

Si vous avez un truc pour faire des photos correctes à la lumière électrique, je suis preneuse.

Marie-Odile qui va éplucher la notice du numérique (oui, je ne l'ai pas fait avant.... comment procrastiner???? j'ai une surdité sélective LOL)

Màj du 9.02.2010, Petite soeur me demande des précisions sur la stérilisation du bouillon de poule. Les pots sont des pots de réccupération que je réutilise tant que la petite bande de caoutchouc reste souple, je souhaite investir dans des pots mais argh (j'aimerais beaucoup des wecks, ils ont un côté sécurisant en s'ouvrant tout seul...), donc c'est fait ultraprogressivement. Le stock est mis bouillant dans les pots (2cm en dessous du bord en principe mais je n'utilise pas la règle), qui refroidissent fermés et qui sont ensuite passés à la pression 20min (altitude de Paris).

Friday, February 05, 2010

Critère d'organisation de la cuisine 1b

Bonjour,
Continuons la réorganisation de la cuisine. Pour une cuisine saine après avoir limité les excès, il faut compenser les déficits.
I - une cuisine plus saine
a) limiter les excès
b) Compenser les déficits


On va donc privilégier les fruits et les légumes, biologiques ou pas, surgelés ou en conserve, bien que les produits frais biologiques soient toujours préférables. Les résidus de pesticides et d’herbicides restent négligeables quand on lave et épluche les fruits et les légumes [on ne parle pas environnement, là]. Il faut toutefois ne pas oublier qu’un légume poussé, hyper-nourri, hyper-protégé n’a jamais eu à se battre, à se protéger et donc il ne contient pas ces éléments phytochimiques de défense qui bien souvent correspondent à ces molécules dites anticancer.
En plus de privilégier fruits et légumes pourquoi ne pas se pencher sur la nutrithérapie telle que proposée par Richard Béliveau qui est MD PhD (euh, Medical Doctor et Philosophical Doctor qui correspond chez nous à un Doctorat en Sciences, il est oncologue au Canada) et dont c'est le sujet de recherche, il publie des articles de recherches dans des revues internationales à comité de lecture comme Molecular nutrition and Food Research ou Molecular cancer Research que j'épluche consciencieusement. Ses livres sont pour moi les uniques bouquins avec des bases scientifiques réelles et personnelles !




Il est suggéré de planifier des recettes où l’intégration de ces aliments est telle qu’il soit possible de se conformer à un traitement tous les jours : recettes variées et plaisantes au goût, qui combine plusieurs aliments

Liste/                                        Q min par jour

Ail /                                           1 gousse
Myrtilles, framboises, mûres /     ½ tasse
Brocoli /                                    ½ tasse
Chocolat noir(>70%)/                20-30 g
[attention le lait neutralise les composants du chocolat]
Chou(Bruxelles, chou, chou-fleur) ½ tasse
navet/                                           ½ tasse
Curcuma (frais c’est mieux)/          1 g
[le poivre x300 l’absorption de la curcumine]
oignon /                                        1
Raisin /                                        100 gr (200ml de jus)
Soja/                                            ½ tasse
Thé vert/                                       750 ml
[ils n’ont pas tous la mm concentration en principes actifs : les plus les thé verts jap en feuilles et sencha ou le yumiya et 1c à thé soit 1g pour 250 ml eau infusé 8-10 mn]
tomate/                                        1 (200 ml de jus) 1càs de pâte
graines de lin moulues/                 1 cas
canneberges séchées/                   ½ tasse
épinards, cresson/                        ½ tasse
jus d’agrumes/                            125 ml
vin rouge/                                   1 verre

Perso, j’ajoute  : ne pas oublier les fibres (la pomme de chaque jour quoi) qui en faisant un bon ballast limite le temps de contact des substances toxiques ainsi que les yaourts maison pour une bonne flore intestinale ainsi que beaucoup de persil et d’herbes pour l’apport en vitamine C et autres (antioxydants).
Et je vais avoir de mal avec les canneberges (je trouve que cela n'a aucun goût?), les graines de lin moulues (les trouver... trouver le moulin... les moudre) et le jus d'agrumes va rapidement être remplacé par l'agrume tout court.. D'autant que j'ai un garçon qui adore mordre à pleines dents dans les citrons!
Premières recettes ce we ou en début de semaine (bonnes pour la santé et économiques!)

Marie-Odile